Affichage des articles dont le libellé est Lou JOHNSON. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Lou JOHNSON. Afficher tous les articles

lundi 16 octobre 2023

Lou JOHNSON - 1972 - US-VOLT 6017 - With you in my mind (stereo)

'With you in my mind' est le deuxième et dernier album de Lou JOHNSON. Il sort trois ans après le premier.

Bien que sorti sur 'Volt' (une division de 'Stax') et être produit par Allen TOUSSAINT, le disque ne rencontre pas le succès escompté et la carrière de Lou JOHNSON se terminera par des prestations dans des clubs....et c'est bien dommage.

A découvrir....


front



mardi 28 avril 2020

Lou JOHNSON - 1969 - US-COTILLION 9008 - Sweet southern soul (stereo)

Quatre années après avoir été l'interprète du duo BACHARACH/DAVID, Lou JOHNSON revient avec cet album enregistré sur une division d'Atlantic.

L’interprétation et l'accompagnement sont au rendez-vous; les titres sont pour la plupart de bonnes reprises:

des DRIFTERS
"This magic moment"
"Please stay" repris par Danyel GERARD "Cœur gros"

de Ben E KING
"Don't play that song" qui devient "Pas cette chanson" pour Johnny HALLYDAY
"Tears tears  tears"

des IMPRESSIONS
"Gypsy woman"

de George JONES
"She thinks I still care"

 back

vendredi 14 février 2020

Lou JOHNSON - 1965 - UK-LONDON 1438 - The magic potion of (mono)

Lou JOHNSON est né à Brooklyn, un quartier de New York, le 11 février 1941.

Après avoir chanté le gospel dans les églises de son quartier, il forme les COANJOS avec Tresia CLEVELAND et Ann GISSENDAMMER.
Ils enregistrent "Dance the boomerang" avant que les filles ne le quittent pour former les SOUL SISTERS.

En 1962, il signe avec Bigtop où il est remarqué par Burt BACHARACH & Hal DAVID qui lui écrivent "If I never get to love you" puis "Reach out for me" qui se classe à la 74ème place du top 100.
La face B "Magic potion" (également écrit par le duo) devient un incontournable de la Northern soul après avoir été joué au Twisted wheel de Manchester en Angleterre.

Bigtop disparaît et il signe avec son successeur Big Hill où il continue à enregistrer des titres de BACHARACH/DAVID.
En 1964, il est le premier à enregistrer "(there's) Always something there to remind me" (avec dans les chœurs: Doris TROY, Dee Dee WARWICK et Cissy HOUSTON) qui se classe à la 49ème place du Billboard avant que Sandie SHAW n'en fasse un succès international.

Fin 1964, sa version de "Message to Martha" devient 36ème des classements...anglais.
En un mot, il a été le premier interprète à populariser les titres de BACHARACH/DAVID avant Dionne WARWICK.

De cette époque je ne connais que cet EP anglais sur lequel vous allez retrouver:

"Magic potion" repris par les SEARCHERS
"Reach out for me" repris par Dionne WARWICK
"(there's) Always something there to remind me" repris par Sandie SHAW
"A message to Martha" repris par Jerry BUTLER

En bonus, j'ai ajouté:
"If I never get to love you" repris par Gene PITNEY et Timi YURO
"The last one to be loved" repris par Dionne WARWICK
"The panic is on" jamais publié mais repris par Roy HAMILTON
"Walk on by" repris par Dionne WARWICK
"Unsatisfied"
"Wouldn't that be something"
"You better let him go" aussi par Harrison FREESE Jr


 back