Lou JOHNSON est né à Brooklyn, un quartier de New York, le 11 février 1941.
Après avoir chanté le gospel dans les églises de son quartier, il forme les COANJOS avec Tresia CLEVELAND et Ann GISSENDAMMER.
Ils enregistrent "Dance the boomerang" avant que les filles ne le quittent pour former les SOUL SISTERS.
En 1962, il signe avec Bigtop où il est remarqué par Burt BACHARACH & Hal DAVID qui lui écrivent "If I never get to love you" puis "Reach out for me" qui se classe à la 74ème place du top 100.
La face B "Magic potion" (également écrit par le duo) devient un incontournable de la Northern soul après avoir été joué au Twisted wheel de Manchester en Angleterre.
Bigtop disparaît et il signe avec son successeur Big Hill où il continue à enregistrer des titres de BACHARACH/DAVID.
En 1964, il est le premier à enregistrer "(there's) Always something there to remind me" (avec dans les chœurs: Doris TROY, Dee Dee WARWICK et Cissy HOUSTON) qui se classe à la 49ème place du Billboard avant que Sandie SHAW n'en fasse un succès international.
Fin 1964, sa version de "Message to Martha" devient 36ème des classements...anglais.
En un mot, il a été le premier interprète à populariser les titres de BACHARACH/DAVID avant Dionne WARWICK.
De cette époque je ne connais que cet EP anglais sur lequel vous allez retrouver:
"Magic potion" repris par les SEARCHERS
"Reach out for me" repris par Dionne WARWICK
"(there's) Always something there to remind me" repris par Sandie SHAW
"A message to Martha" repris par Jerry BUTLER
En bonus, j'ai ajouté:
"If I never get to love you" repris par Gene PITNEY et Timi YURO
"The last one to be loved" repris par Dionne WARWICK
"The panic is on" jamais publié mais repris par Roy HAMILTON
"Walk on by" repris par Dionne WARWICK
"Unsatisfied"
"Wouldn't that be something"
"You better let him go" aussi par Harrison FREESE Jr
thanks
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